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Diabète
En France, 3,5 millions de personnes souffrent de diabète1
Cette
pathologie multiplie par 3 à 5 le risque d’infarctus du
myocarde2
Pour améliorer
la prise en charge de la maladie, soutenez les meilleurs projets de recherche.
Les explications de la Pr Marie-Christine Vantyghem, Chef du service diabétologie au CHU de Lille.
Le
diabète résulte d’un excès chronique de glucose (le « carburant des cellules »)
dans le sang en raison d’une perte d’action ou d’une diminution de la sécrétion
d’une hormone, l’insuline.
Les
symptômes apparaissent plus ou moins brutalement, selon le type de diabète. Les
signes typiques de la maladie sont une soif excessive, une faim anormale, une
fatigue, une envie trop fréquente d’uriner, une perte de poids ou encore des
troubles de la vision. L’excédent de glucose sanguin a des effets néfastes sur
la tension artérielle, le cœur, les yeux, les reins, le système nerveux. Ainsi,
le diabète, s’il est mal pris en charge, constitue un facteur de risque majeur
de développer des maladies graves comme la rétinopathie, l’insuffisance rénale,
certaines maladies cardiovasculaires ou neuropathies...
Le diabète (types 1 et 2 confondus) multiplie ainsi par 3 à 5 le risque d’infarctus du myocarde2.
Sources : 1 Santé Publique France, 2019 - 2 Inserm
« J’ai beaucoup de chance »
« Certains jours, je trouve pénible d’avoir à me piquer, de me retrouver avec une mauvaise glycémie, alors que j’ai fait des efforts et que je suis simplement stressée ou fatiguée. Mais, j’ai beaucoup de chance, mon diabète est très équilibré : j’ai encore une petite production d’insuline qui m’assure une bonne stabilité générale. Dès qu’on me le propose, je participe à des protocoles de recherche. J’essaie de faire ce genre de choses, car ça peut vraiment aider les autres. »
Delphine L, 44 ans, souffre d’un diabète de type 1 depuis l’âge de 27 ans.
La greffe d’îlots pancréatiques afin de remplacer les cellules détruites constitue une piste prometteuse de traitement du diabète de type 1. Afin d’améliorer son taux de succès, les chercheurs s’intéressent au tissu provenant de glandes situées derrière la thyroïde, le tissu parathyroïdien, qui est connu pour stimuler la formation de nouveaux vaisseaux et la régénération des cellules bêta-pancréatiques.
Les
chercheurs vont tout d’abord analyser des co-cultures d’îlots humains et de ce
tissu, puis ils réaliseront des co-transplantations pour évaluer l’efficacité
de cette greffe. Ce projet pourrait déboucher rapidement sur un essai clinique.
Devant la progression continue des cas de diabète, la FRM doit apporter aux chercheurs les ressources qui leur permettront de mieux connaître les mécanismes en jeu dans le diabète pour améliorer les traitements existants, et développer de nouvelles solutions thérapeutiques à même de guérir les patients.
Ainsi, parmi les pistes de recherche les plus prometteuses actuellement, les chercheurs s’attachent à :
Leurs efforts, portés par la Fondation pour la Recherche Médicale et ses donateurs, ont déjà rendu possibles des avancées notables. Ainsi, à l’occasion de la journée mondiale du diabète le 14 novembre, nous comptons sur vous pour vous mobiliser aux côtés de la Fondation pour la Recherche Médicale (FRM) et à soutenir les chercheurs engagés dans la lutte contre toutes les pathologies, dont toutes les formes de diabète.
« J’admire profondément les chercheurs. Cela fait 15 ans que je suis parrain de la FRM qui finance des projets innovants et apporte une aide considérable aux chercheurs. Passionné de science, je visite une dizaine de laboratoires par an et j’ai la chance d’échanger régulièrement avec les chercheurs. »
« J’ai toujours voué une immense admiration aux chercheurs, des scientifiques de haut vol doublés de grands humanistes. Quand j’étais petite, je rêvais de découvrir le vaccin contre le cancer. Je suis devenue médecin puis journaliste médical. »
« Je suis vraiment admiratif des personnalités exceptionnelles que j’ai eu l’occasion de rencontrer à la FRM comme sur les plateaux de télévision. »
« Je voue depuis toujours une admiration sans bornes aux chercheurs qui consacrent leur vie à sauver les nôtres et jamais je n’oserai comparer nos métiers, le leur est bien plus important que le mien. »
Depuis 75 ans, la Fondation pour la Recherche Médicale (FRM) se bat pour la vie, en stimulant et en soutenant le progrès qui a le potentiel demain d’améliorer et de sauver des vies.
En adoptant une démarche pluridisciplinaire, la FRM encourage, sélectionne et finance des projets de recherche prometteurs sur toutes les maladies : cancers, maladies cardiovasculaires, maladies neurologiques et psychiatriques, maladies infectieuses, etc.
La FRM soutient chaque année plus de 400 nouvelles recherches menées dans les laboratoires des organismes publics de recherche et d’enseignement supérieur (INSERM, CNRS, INRA, CEA, Universités, grandes écoles, établissements de santé…).
Indépendante, la FRM agit grâce à la générosité de ses donateurs, testateurs et partenaires.