NOUS AVONS BESOIN DE VOUS POUR LUTTER CONTRE TOUTES LES MALADIES
Soutenez les projets de recherche les plus prometteurs
Les facteurs environnementaux seraient responsables de 24 % des décès, soit 13,6 millions de morts par an *, et de 25 % des pathologies chroniques dans le monde **.
Pour préserver notre santé de l'impact de l'environnement, soutenez les chercheurs.
* Organisation mondiale de la Santé
** Ministère des Solidarités et de la Santé
Robert Barouki est Professeur à la faculté de médecine de l’Université Paris-Cité, Directeur de l’unité de recherche Inserm T3S, Coordinateur du programme européen HERA (Health Environment Research Agenda for Europe) et co-fondateur du colloque Prenatal Programming and Toxicity (PPTOX).
Pesticides, polluants organiques persistants, perturbateurs endocriniens, pollution de l’air, stress, facteurs psychosociaux, pollution sonore, pollution lumineuse... Les facteurs environnementaux participeraient en effet au développement d’un grand nombre de maladies : les cancers, bien sûr, mais aussi les pathologies cardiovasculaires, respiratoires, métaboliques comme le diabète, ou encore neurodégénératives.
Particules fines :
Si les effets de l’environnement sur la santé humaine sont un enjeu majeur, les connaissances scientifiques restent en la matière très parcellaires, peu d’investissements ayant été réalisés à ce jour.
Sources :
(1) https://www.who.int/activities/environmental-health-impacts
(2) https://www.thelancet.com/journals/lanplh/article/PIIS2542-5196(22)00090-0/fulltext
(3) Santé publique France
(4) Etude publiée en 2017, dans le journal Environment International
(5) https://france.representation.ec.europa.eu/informations/la-commission-fait-avancer-les-travaux-sur-les-restrictions-applicables-aux-substances-chimiques-2022-04-25_fr
La FRM a un rôle important à jouer pour orienter les politiques publiques en matière d’environnement et de santé.
Valérie Lemarchandel Directrice scientifique de la FRM
Selon l’Organisation mondiale de la Santé, les allergies, qui touchent 20 % de la population mondiale, sont en recrudescence. La moitié de la population pourrait être concernée d’ici 2050. Le projet de Grégory Bouchaud vise à comprendre si une exposition chronique à plusieurs pesticides, simultanément et à faible dose, pendant la grossesse et l’allaitement favorise l’apparition d’allergies alimentaires et d’asthme chez l’enfant.
L’alimentation est une source d’exposition à de nombreuses molécules chimiques comme les pesticides, le bisphénol A ou encore les phtalates. Elle débute in utero, par les échanges à travers le placenta et se poursuit après la naissance, dans un premier temps via l’allaitement et le régime alimentaire du bébé. L’objectif de ce projet est d’explorer le lien potentiel entre une exposition périnatale aux contaminants alimentaires et l’apparition d’allergies dans l’enfance.
Alors que l’inquiétude est grandissante, le niveau de recherche reste à ce jour très insuffisant. En France, seule une cinquantaine d’équipes - spécialisées notamment en toxicologie ou épidémiologie - travaille directement sur ces sujets. De plus, les travaux en cours se concentrent seulement sur quelques dizaines de substances polluantes. Les effets d’un grand nombre de polluants et leurs mécanismes d’action restent méconnus. Il en est de même pour les effets combinés des polluants.
Aujourd’hui, grâce à votre soutien, notre ambition pour les années à venir est de répondre à 3 objectifs principaux :
Seule votre générosité peut nous permettre d’investir ainsi dans tous les domaines de la recherche, pour apporter des solutions concrètes au plus grand nombre.
Les chercheurs souhaitent mieux caractériser l'impact de certains pesticides, des fongicides, sur la maturation du cerveau des nouveaux nés, en vue d’éclairer leur rôle potentiel dans les anomalies du développement cérébral à l’origine des troubles du spectre autistique.
Les chercheurs pensent que l’exposition chronique a plusieurs pesticides simultanément même à de faible dose pendant la grossesse et l’allaitement pourrait influencer l’apparition d’allergies alimentaires et d’asthme chez l’enfant.
« J’admire profondément les chercheurs. Cela fait 15 ans que je suis parrain de la FRM qui finance des projets innovants et apporte une aide considérable aux chercheurs. Passionné de science, je visite une dizaine de laboratoires par an et j’ai la chance d’échanger régulièrement avec les chercheurs. »
« J’ai toujours voué une immense admiration aux chercheurs, des scientifiques de haut vol doublés de grands humanistes. Quand j’étais petite, je rêvais de découvrir le vaccin contre le cancer. Je suis devenue médecin puis journaliste médical. »
« Je suis vraiment admiratif des personnalités exceptionnelles que j’ai eu l’occasion de rencontrer à la FRM comme sur les plateaux de télévision. »
« Je voue depuis toujours une admiration sans bornes aux chercheurs qui consacrent leur vie à sauver les nôtres et jamais je n’oserai comparer nos métiers, le leur est bien plus important que le mien. »
Depuis 75 ans, la Fondation pour la Recherche Médicale (FRM) se bat pour la vie, en stimulant et en soutenant le progrès qui a le potentiel demain d’améliorer et de sauver des vies.
En adoptant une démarche pluridisciplinaire, la FRM encourage, sélectionne et finance des projets de recherche prometteurs sur toutes les maladies : cancers, maladies cardiovasculaires, maladies neurologiques et psychiatriques, maladies infectieuses, etc.
La FRM soutient chaque année plus de 400 nouvelles recherches menées dans les laboratoires des organismes publics de recherche et d’enseignement supérieur (INSERM, CNRS, INRA, CEA, Universités, grandes écoles, établissements de santé…).
Indépendante, la FRM agit grâce à la générosité de ses donateurs, testateurs et partenaires.