En travaillant à partir de tels organoïdes et de souris modèles, ces chercheurs ont constaté que, dans le contexte d’une MICI, ce renouvellement cellulaire n’a pas lieu correctement, en partie à cause de la sécrétion par le système immunitaire digestif d’une molécule appelée « interféron lambda » ou « interféron de type III ». En bloquant cette molécule, il pourrait être possible de restaurer la barrière intestinale, et ainsi d’améliorer la qualité de vie des patients.

Source : Cell, 4 novembre 2024