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Soutenez les projets de recherche les plus prometteurs
sauver des vies grâce au diagnostic précoce
Plus un cancer est diagnostiqué tôt, plus les chances de guérison sont élevées.
Aidez les chercheurs à avancer sur de nouvelles stratégies de diagnostic précoce et à lutter contre tous les cancers.
Il nous raconte son histoire et le rôle qu'a joué la recherche dans sa prise en charge.
Le projet de Philippe Kastner à l'Institut de génétique et de biologie moléculaire et cellulaire (IGMBC).
Avec son équipe, Philippe Kastner travaille à l'Institut de génétique et de biologie moléculaire et cellulaire (IGMBC) sur un projet qui vise à découvrir des altérations génétiques des formes sévères de leucémies aiguës lymphoblastiques B pour mieux les prendre en charge. Mettre en lumière ces altérations génétiques particulières permettra d'affiner les analyses faites lors du diagnostic de ces cancers du sang, et ainsi d’améliorer l'identification des patients avec des LAL-B de mauvais pronostic.
un facteur déterminant dans le succès de sa prise en charge.
Les cancers représentent en France la première cause de décès chez l’homme et la deuxième chez la femme. Depuis 30 ans, le nombre de cancers diagnostiqués a bondi de 65 % chez l’homme et de 93 % chez la femme.
Face à cette augmentation, l’amélioration des outils existants, le développement de nouvelles stratégies visant à établir des diagnostics toujours plus précoces et toujours plus précis sont des priorités pour identifier les stratégies thérapeutiques les plus adaptées.
Concernant le cancer colorectal, par exemple, les chances de survie à 5 ans s’élèvent à 90 %, si la tumeur se limite à la surface interne du côlon ou du rectum, contre 13 % pour un cancer colorectal avec des métastases*. Lorsqu’un cancer du sein est détecté à un stade précoce, le taux de survie à 5 ans est de 99 %, contre 26 % pour un cancer métastasé*. On considère que 90 % des cancers du col de l’utérus pourraient être évités grâce au dépistage. Enfin, dans le cas d’un mélanome cutané au stade localisé, la survie relative à 5 ans est de 98 %, contre 15 % au stade métastatique*.
Les progrès scientifiques et technologiques ont déjà permis des avancées considérables. Ainsi, l’imagerie médicale, et les nombreuses techniques qu’elle regroupe, constitue aujourd’hui l’un des premiers outils de diagnostic. L’identification de marqueurs biologiques permet aussi de suspecter l’existence d’une tumeur à travers un simple test sanguin.
Des axes de recherche très prometteurs sont actuellement explorés par les chercheurs. Et, pour aboutir à des découvertes déterminantes, votre soutien leur est indispensable.
Source : Institut National du Cancer
Des premiers examens de dépistage au rôle crucial de l'imagerie dans la pose du diagnostic et la prise en charge, Corinne Balleyguier, radiologue et cheffe du département d'imagerie médicale de l'Institut Gustave Roussy (Villejuif) nous parle du diagnostic des cancers.
Zoom sur les découvertes qui ont permis de l'affiner et les enjeux de la recherche médicale pour aller encore plus loin dans l'amélioration des techniques existantes et le développement de nouvelles solutions.
Pour être toujours plus précis ou tout simplement mettre au point des techniques moins invasives ou moins coûteuses, différentes stratégies sont à l’étude par les chercheurs :
Nous comptons sur votre mobilisation aux côtés de
la Fondation pour la Recherche Médicale (FRM) et
à soutenir les chercheurs engagés pour améliorer
le diagnostic et la prise en charge des cancers.
Les chercheurs ont identifié un gène qui est muté dans 30 % des tumeurs et qui est associé à un taux de récidive plus important mais également à une plus grande sensibilité à la chimiothérapie peri-opératoire : une avancée potentielle pour le meilleur traitement des patients.
Les chercheurs souhaitent découvrir l’ensemble des mutations génétiques affectant l’activité de IKZF1 afin de pouvoir rapidement identifier les patients avec une leucémie de mauvais pronostic, et ainsi mettre en place une thérapie adaptée.
« J’admire profondément les chercheurs. Cela fait 15 ans que je suis parrain de la FRM qui finance des projets innovants et apporte une aide considérable aux chercheurs. Passionné de science, je visite une dizaine de laboratoires par an et j’ai la chance d’échanger régulièrement avec les chercheurs. »
« J’ai toujours voué une immense admiration aux chercheurs, des scientifiques de haut vol doublés de grands humanistes. Quand j’étais petite, je rêvais de découvrir le vaccin contre le cancer. Je suis devenue médecin puis journaliste médical. »
« Je suis vraiment admiratif des personnalités exceptionnelles que j’ai eu l’occasion de rencontrer à la FRM comme sur les plateaux de télévision. »
« Je voue depuis toujours une admiration sans bornes aux chercheurs qui consacrent leur vie à sauver les nôtres et jamais je n’oserai comparer nos métiers, le leur est bien plus important que le mien. »
Depuis 75 ans, la Fondation pour la Recherche Médicale (FRM) se bat pour la vie, en stimulant et en soutenant le progrès qui a le potentiel demain d’améliorer et de sauver des vies.
En adoptant une démarche pluridisciplinaire, la FRM encourage, sélectionne et finance des projets de recherche prometteurs sur toutes les maladies : cancers, maladies cardiovasculaires, maladies neurologiques et psychiatriques, maladies infectieuses, etc.
La FRM soutient chaque année plus de 400 nouvelles recherches menées dans les laboratoires des organismes publics de recherche et d’enseignement supérieur (INSERM, CNRS, INRA, CEA, Universités, grandes écoles, établissements de santé…).
Indépendante, la FRM agit grâce à la générosité de ses donateurs, testateurs et partenaires.