Le syndrome d’apnées du sommeil provoque la répétition de courtes chutes d’oxygène sanguin au cours de la nuit, ce qui induit une augmentation de la pression artérielle.
Le laboratoire HP2 étudie les mécanismes physiologiques et moléculaires impliqués les chutes répétées d'oxygène sanguin.
Ses travaux pourraient déboucher sur de nouvelles pistes de prise en charge de l’hypertension chez les patients atteints du syndrome d’apnées du sommeil.