Syndrome d'hypercroissance dysharmonieuse : comment Guillaume Canaud a révolutionné la prise en charge du syndrome de Cloves
23 avril 2024
Face à une même dose d'anesthésiant, nous ne réagissons pas tous de la même façon. Or, si la sédation est trop profonde, des risques de complications existent au niveau du cerveau.
Actuellement, un électroencéphalogramme (EEG) permet de contrôler en temps réel la profondeur de la sédation d'un patient en salle d'opération. Des chercheurs du CNRS travaillant à l'École normale supérieure de Paris viennent de montrer qu'il est possible, grâce à un programme d'intelligence artificielle décryptant les signaux de l'EEG, de prédire une dizaine de minutes à l'avance des états de sédation trop profonde. Et donc de prévenir des effets délétères sur le cerveau. Cette utilisation de l'intelligence artificielle pourrait permettre une meilleure personnalisation de l'anesthésie générale, en fonction de la sensibilité cérébrale individuelle.
Source : Communications Biology, septembre 2019
Newsletter
Restez informé(e) !
Abonnez-vous pour recevoir les actualités et communications de la FRM, les projets et découvertes sur toutes les maladies…
Syndrome d'hypercroissance dysharmonieuse : comment Guillaume Canaud a révolutionné la prise en charge du syndrome de Cloves
23 avril 2024
Maladie de Parkinson : une neuroprothèse pour améliorer la marche des patients parkinsoniens
05 avril 2024
Cancer : prédire la réponse aux traitements des tumeurs hépatiques
05 avril 2024