2024

• Nina Kaci, doctorante au sein du Laboratoire « Génomes biologie cellulaire et thérapeutique » de l’Hôpital Saint-Louis à Paris. La chercheuse souhaite caractériser le processus biologiques responsables de l’émergence de la leucémie aiguë myéloïde post-myélofibrose primitive, un cancer du sang qui découle de l’aggravation d’une pathologie de la moelle osseuse. Elle s’intéresse plus particulièrement aux effets d’un traitement particulier sur cette aggravation : un élément qui permettra d’améliorer le suivi des patients.
• Léa Dehgane, doctorante dans l’équipe « Mort cellulaire et résistance aux médicaments dans les syndromes lymphoprolifératifs », au centre de recherche des Cordeliers, de l'Université Paris Saclay, sous la direction de Florence Nguyen Khac. La chercheuse souhaite comprendre le rôle d’une anomalie chromosomique dans la sévérité de la leucémie lymphoïde chronique. Mieux la connaître permettra d’ouvrir de nouvelles pistes pour en améliorer la prise en charge.

2023

• Rawan Hallal, doctorante dans l’équipe « La famille ubiquitine dans les hémopathies malignes » dirigée par Guillaume Bossis à l’Institut de génétique moléculaire de Montpellier. Son étude vise à découvrir comment contrer les mécanismes qui permettent aux cellules tumorales d’échapper au système immunitaire et de résister aux chimiothérapies au cours de la leucémie aiguë myéloïde. Cela permettra de mieux prendre en charge ces pathologies dans le futur.
• Romane Bariseel, doctorante dans l’équipe « Immunorégulation et biothérapie » dirigée par José Cohen à l’Institut Mondor de Recherche Biomédicale, à Créteil. Elle souhaite mieux comprendre les mécanismes qui, après une greffe de moelle osseuse pour un cancer du sang, conduisent soit à une réponse antitumorale, soit à une rechute, soit à une complication appelée réaction du greffon contre l’hôte. La chercheuse espère ainsi contribuer à améliorer le pronostic des patients greffés pour un cancer du sang.

2022

• Jean Soulier et son équipe « Génome et cancer » à l'Hôpital Saint-Louis à Paris. Les phénomènes de résistance aux traitements sont responsables de rechutes observées dans la leucémie aigüe lymphoblastique, une forme de cancer du sang. Les chercheurs souhaitent mieux comprendre les mécanismes moléculaires de l’acquisition de résistance par les cellules leucémiques. Leur projet pourrait déboucher sur l’identification de nouvelles cibles thérapeutiques exploitables pour le traitement de ce cancer.

2021

• Sophie Le Grand au sein de l'équipe « INSIGHT - Réponses immunes chez l'hôte immunocompromis : tolérance vs GVHD » à l'Hôpital Saint-Louis à Paris.
• Fabien Boudia au sein de l'équipe « Biologie des leucémies de l’enfant » à l'Institut Gustave Roussy à Villejuif.
• Matteo Guerra au sein de l'équipe « Leucémie et dynamique de la niche » à l'Institut de recherche biomédicale Cochin à Paris.
• Romain Vazquez dans l'équipe « Hématopoïèse normale et pathologique » au sein de l'Institut de recherche biomédicale Cochin à Paris.

2020

• Charlotte Smith au sein de l'Institut Necker-Enfants Malades.
• Karim Abdelmoumen au Centre International de Recherche en Infectiologie de Lyon.
• Guntulu Gokce Agsu au laboratoire « Immunologie Humaine, Pathophysiologie, Immunothérapie » de l'Institut de Recherche Saint-Louis à Paris.
• Guillaume Morel qui travaille à l'Institut de Génétique et de Biologie Moléculaire et Cellulaire d'Illkirch.

2019

• Camille Sauter qui travaille au sein du laboratoire “ Lipides Nutrition Cancer ” de la Faculté de médecine de Dijon.