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Comme Aliénor, chaque année, ce sont 4 000 à 6 000 personnes, âgées de 30 ans en moyenne (source : Inserm), qui voient leur vie basculer lorsque tombe le diagnostic de la sclérose en plaques.
Il y a 20 ans, les médecins ne disposaient que d’un seul traitement contre la sclérose en plaques. Aujourd’hui, grâce à la recherche, leur arsenal compte plus d’une douzaine de familles de médicaments, et le diagnostic et la prise en charge sont de plus en plus précoces. Si l’enjeu principal est de prévenir les handicaps, il reste aussi à développer des médicaments pour traiter la forme de sclérose en plaques la plus sévère, la forme progressive d'emblée, voire réparer les lésions provoquées par la maladie.
Lors de la sclérose en plaques, le système immunitaire s’attaque à la myéline, une gaine située autour des fibres nerveuses des neurones, conduisant à terme à une neurodégénérescence. Dans la majorité des cas, la maladie alterne entre des phases de dégradation de la myéline et de réparation partielle.
Grâce notamment au soutien de la FRM, Bruno Stankoff et son équipe ont réussi à mieux caractériser des mécanismes cérébraux associés à une plus faible réparation de la myéline par l’organisme.
La sclérose en plaques est une maladie auto-immune touchant le système nerveux central (cerveau et moelle épinière). Un dérèglement pousse les cellules du système immunitaire à s’attaquer à la gaine de myéline qui entoure les fibres nerveuses des neurones, d'où l'apparition des symptômes. Si l'inflammation persiste, elle peut provoquer la destruction des neurones et l'installation d'un handicap.
Depuis une vingtaine d'années, les progrès de la médecine ont permis d’améliorer le diagnostic et la prise en charge de la sclérose en plaques. Pour autant, il n’existe toujours pas de traitement qui permet de la guérir. Pour les personnes directement concernées, 120 000 en France d’après le ministère de la Santé et de la Prévention, il est donc essentiel que la recherche puisse encore progresser.
Limiter la progression des handicaps et mettre au point des traitements pour les formes les plus sévères de la pathologie sont aujourd'hui les défis majeurs que doit relever la recherche sur la sclérose en plaques.
Les chercheurs poursuivent ainsi plusieurs axes de recherche pour y parvenir. Il s’agit notamment de :
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Lors de la sclérose en plaques, le système immunitaire s’attaque à la myéline, une gaine située autour des prolongements des neurones, conduisant à terme à une neurodégénérescence. Les chercheurs ont montré qu’une plus faible remyélinisation dans des régions du cerveau dites périventriculaires est associée à une plus grande perte neuronale dans la substance grise.
Certaines cellules immunitaires joueraient un rôle protecteur très important dans les maladies auto-immunes comme la sclérose en plaques. Les chercheurs pensent que cet effet protecteur serait lié à une molécule en particulier et essaient de le démontrer, afin d'ouvrir la voie à des traitements innovants de la sclérose en plaques.
« J’admire profondément les chercheurs. Cela fait 15 ans que je suis parrain de la FRM qui finance des projets innovants et apporte une aide considérable aux chercheurs. Passionné de science, je visite une dizaine de laboratoires par an et j’ai la chance d’échanger régulièrement avec les chercheurs. »
« J’ai toujours voué une immense admiration aux chercheurs, des scientifiques de haut vol doublés de grands humanistes. Quand j’étais petite, je rêvais de découvrir le vaccin contre le cancer. Je suis devenue médecin puis journaliste médical. »
« Je suis vraiment admiratif des personnalités exceptionnelles que j’ai eu l’occasion de rencontrer à la FRM comme sur les plateaux de télévision. »
« Je voue depuis toujours une admiration sans bornes aux chercheurs qui consacrent leur vie à sauver les nôtres et jamais je n’oserai comparer nos métiers, le leur est bien plus important que le mien. »
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