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touche 25 000 nouvelles personnes par an, dont 83 % sont diagnostiquées après 50 ans*.
Aidez les chercheurs mobilisés pour stopper la progression de la maladie de Parkinson.
* Source : ministère des Solidarités et de la Santé
Il nous raconte son histoire.
Avec 200 000 personnes atteintes *, la maladie de Parkinson est la deuxième maladie neurodégénérative la plus fréquente en France, après la maladie d’Alzheimer. Et elle touche chaque année de plus en plus de personnes. C’est par ailleurs la deuxième cause de handicap moteur chez l’adulte après les accidents vasculaires cérébraux *.
Cette pathologie neurodégénérative incurable détruit progressivement les neurones producteurs de dopamine, une molécule essentielle au contrôle des mouvements. D’évolution lente, la maladie entraîne de lourds handicaps et une perte significative de la qualité de vie.
Elle se caractérise en effet par trois symptômes moteurs – lenteur des mouvements, rigidité musculaire, tremblements au repos – mais aussi par des symptômes non moteurs variables selon les patients : douleurs, troubles digestifs, fatigue, troubles cognitifs, symptôme dépressif, anxiété, troubles du sommeil, perte de l’odorat…
Si les progrès de la recherche ont permis d’améliorer la prise en charge de la maladie, il reste très difficile de la diagnostiquer précocement, et aucun des traitements actuels ne permet de ralentir voire d’enrayer la progression des lésions cérébrales.
Les chercheurs sont aujourd’hui engagés dans un objectif prioritaire : ralentir voire stopper la progression de la maladie, et ainsi améliorer considérablement la vie des patients.
* Source : ministère des Solidarités et de la Santé
La maladie de Parkinson est une maladie qui évolue lentement. Avant que le diagnostic ne soit posé, des signes avant-coureurs peuvent exister. La maladie évolue à une vitesse et d’une manière propres à chacun. Cinq grandes phases sont généralement décrites.
Laurent Venance dirige l’équipe de recherche « Dynamique et physiopathologie des réseaux neuronaux », au Centre interdisciplinaire de recherche en biologie (Collège de France, Paris). Il étudie la voie de l’optogénétique, pour traiter la maladie, en alternative à la stimulation cérébrale profonde.
Aujourd’hui, les chercheurs sont pleinement mobilisés dans le développement de stratégies innovantes contre la maladie de Parkinson comme :
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Contrairement aux idées reçues, la maladie de Parkinson n’atteint pas seulement les régions cérébrales motrices, mais peut également engendrer des symptômes non moteurs comme une dépression, une apathie ou encore une anxiété. Des chercheurs sont parvenus à mieux caractériser les zones du cerveau et les types de neurones concernés.
Peu de patients atteints de la maladie de Parkinson sont éligibles à la stimulation cérébrale profonde. Les chercheurs développent des moyens moins invasifs pour stimuler le cerveau des patients.
Il est aujourd’hui établi qu’il existe un lien entre l’exposition à certains pesticides dont les carbamates et le développement de la maladie de Parkinson. Pour le moment, les mécanismes moléculaires et cellulaires associés à ce phénomène sont inconnus. Les chercheurs souhaitent explorer ces relations, ce qui pourrait éclairer les décisions de santé publique.
« J’admire profondément les chercheurs. Cela fait 15 ans que je suis parrain de la FRM qui finance des projets innovants et apporte une aide considérable aux chercheurs. Passionné de science, je visite une dizaine de laboratoires par an et j’ai la chance d’échanger régulièrement avec les chercheurs. »
« J’ai toujours voué une immense admiration aux chercheurs, des scientifiques de haut vol doublés de grands humanistes. Quand j’étais petite, je rêvais de découvrir le vaccin contre le cancer. Je suis devenue médecin puis journaliste médical. »
« Je suis vraiment admiratif des personnalités exceptionnelles que j’ai eu l’occasion de rencontrer à la FRM comme sur les plateaux de télévision. »
« Je voue depuis toujours une admiration sans bornes aux chercheurs qui consacrent leur vie à sauver les nôtres et jamais je n’oserai comparer nos métiers, le leur est bien plus important que le mien. »
Depuis 75 ans, la Fondation pour la Recherche Médicale (FRM) se bat pour la vie, en stimulant et en soutenant le progrès qui a le potentiel demain d’améliorer et de sauver des vies.
En adoptant une démarche pluridisciplinaire, la FRM encourage, sélectionne et finance des projets de recherche prometteurs sur toutes les maladies : cancers, maladies cardiovasculaires, maladies neurologiques et psychiatriques, maladies infectieuses, etc.
La FRM soutient chaque année plus de 400 nouvelles recherches menées dans les laboratoires des organismes publics de recherche et d’enseignement supérieur (INSERM, CNRS, INRA, CEA, Universités, grandes écoles, établissements de santé…).
Indépendante, la FRM agit grâce à la générosité de ses donateurs, testateurs et partenaires.