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12 000 PERSONNES MEURENT CHAQUE ANNÉE EN FRANCE D’UN INFARCTUS DU MYOCARDE.
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On estime que plus des trois quarts des maladies cardiovasculaires sont évitables par une bonne hygiène de vie.
Communément appelé « crise cardiaque », l’infarctus du myocarde correspond à la mort d’une partie du muscle cardiaque quand une des artères qui irrigue le cœur se bouche.
La zone du cœur correspondante, brusquement privée de sang et donc d’oxygène, souffre et s’abîme irrémédiablement.
Notre équipe est allée à la rencontre du Pr Michel Ovize, cardiologue, chef du service d’Explorations fonctionnelles cardiovasculaires, CHU de Lyon.
L’infarctus du myocarde représente une cause importante de mortalité en France, avec près de 12 000 décès recensés chaque année.
Dans 10% des cas, le patient meurt dans l’heure qui suit l’infarctus et, dans 15%, le décès survient dans l’année.
Autant de données qui montrent l’importance d’une meilleure prise en charge de la maladie.
Avec les modifications profondes des habitudes de vie, le nombre de femmes victimes d’un infarctus du myocarde a considérablement augmenté ces dernières années. La situation est d’autant plus complexe que l’infarctus du myocarde se manifeste différemment chez les femmes et relève le plus souvent d’une sensation de fatigue intense, de nausées et de palpitations, ce qui retarde le diagnostic.
“En France, on compte en moyenne 80 000 infarctus du myocarde chaque année”
Source : Inserm
L’intervention indispensable à la survie d’une victime d’infarctus peut davantage endommager le cœur.
La recherche s’attelle donc à limiter les séquelles liées à ce traitement. Des études visent aussi à diminuer les risques de récidive et à empêcher le développement d’une insuffisance cardiaque post-infarctus.
« J’admire profondément les chercheurs. Cela fait 15 ans que je suis parrain de la FRM qui finance des projets innovants et apporte une aide considérable aux chercheurs. Passionné de science, je visite une dizaine de laboratoires par an et j’ai la chance d’échanger régulièrement avec les chercheurs. »
« J’ai toujours voué une immense admiration aux chercheurs, des scientifiques de haut vol doublés de grands humanistes. Quand j’étais petite, je rêvais de découvrir le vaccin contre le cancer. Je suis devenue médecin puis journaliste médical. »
« Je suis vraiment admiratif des personnalités exceptionnelles que j’ai eu l’occasion de rencontrer à la FRM comme sur les plateaux de télévision. »
« Je voue depuis toujours une admiration sans bornes aux chercheurs qui consacrent leur vie à sauver les nôtres et jamais je n’oserai comparer nos métiers, le leur est bien plus important que le mien. »
Depuis 75 ans, la Fondation pour la Recherche Médicale (FRM) se bat pour la vie, en stimulant et en soutenant le progrès qui a le potentiel demain d’améliorer et de sauver des vies.
En adoptant une démarche pluridisciplinaire, la FRM encourage, sélectionne et finance des projets de recherche prometteurs sur toutes les maladies : cancers, maladies cardiovasculaires, maladies neurologiques et psychiatriques, maladies infectieuses, etc.
La FRM soutient chaque année plus de 400 nouvelles recherches menées dans les laboratoires des organismes publics de recherche et d’enseignement supérieur (INSERM, CNRS, INRA, CEA, Universités, grandes écoles, établissements de santé…).
Indépendante, la FRM agit grâce à la générosité de ses donateurs, testateurs et partenaires.