Juste après la contamination par le VIH-11, hommes et femmes ne présentent pas la même charge virale2.
Pour comprendre ce phénomène, une équipe de chercheurs français s’est intéressée à des cellules immunitaires jouant un rôle central dans la phase aiguë de l’infection : les cellules dendritiques plasmacytoïdes (pDC).