Mis à jour le 2 août 2016

Une voie moléculaire prometteuse pour la délivrance de médicament au cœur du parasite

  • Le paludisme est une pathologie liée à un parasite, Plasmodium, qui se développe notamment dans les cellules sanguines.

  • Les chercheurs ont découvert à la surface du parasite une protéine qui lui permet d’importer des molécules provenant de la cellule infectée.
  • Cette protéine pourrait constituer une voie d’entrée intéressante pour délivrer des agents thérapeutiques à l’intérieur du Plasmodium.

Cette découverte a été réalisée par Magali Frugier et son équipe dans l’unité du CNRS « Architecture et réactivité de l’ARN » à Strasbourg.

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6 000 €

C’est la somme accordée à Magali Frugier dans le cadre d’une action du Comité régional Alsace de la Fondation pour la Recherche Médicale. Ce financement a participé à l’obtention de ce résultat.

Une maladie parasitaire fréquente

Le paludisme est l’une des maladies parasitaires les plus répandues dans le monde. L’Organisation Mondiale pour la Santé estime que 214 millions de personnes ont été touchées par cette pathologie en 2015. Le parasite en cause est le Plasmodium. Il est transmis à l’Homme par un moustique, l’Anophèle femelle. Une fois dans l’organisme, le parasite se multiplie en plusieurs étapes, la première se déroule au sein des cellules du foie et la deuxième dans les globules rouges. Son cycle se termine lorsqu’il recolonise le moustique suite à une piqure. Le paludisme est une pathologie potentiellement grave qui peut s’avérer mortelle chez les personnes fragiles ou n’ayant pas reçu un traitement adéquat. C’est pourquoi les chercheurs continuent de travailler sur des moyens de prendre en charge cette maladie.

Une voie d’entrée dans le parasite

Le paludisme est l’une des maladies parasitaires les plus répandues dans le monde. L’Organisation Mondiale pour la Santé estime que 214 millions de personnes ont été touchées par cette pathologie en 2015. Le parasite en cause est le Plasmodium. Il est transmis à l’Homme par un moustique, l’Anophèle femelle. Une fois dans l’organisme, le parasite se multiplie en plusieurs étapes, la première se déroule au sein des cellules du foie et la deuxième dans les globules rouges. Son cycle se termine lorsqu’il recolonise le moustique suite à une piqure. Le paludisme est une pathologie potentiellement grave qui peut s’avérer mortelle chez les personnes fragiles ou n’ayant pas reçu un traitement adéquat. C’est pourquoi les chercheurs continuent de travailler sur des moyens de prendre en charge cette maladie.

Source : Bour T et al. Apicomplexa-specific tRip facilitates import of exogenous tRNAs into malaria parasites. Proc Natl Acad Sci U S A. 2016 ; 113 : 4717-22.

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