La mort des cellules musculaires cardiaques lors d’un infarctus influence la capacité du cœur à correctement se contracter par la suite.
Les chercheurs souhaitent donc développer des moyens de stimuler la réparation du tissu musculaire du cœur après un infarctus.
Ils ont mis en évidence le rôle d’une hormone, l’hepcidine, dans le phénomène.