NOUS AVONS BESOIN DE VOUS POUR LUTTER CONTRE TOUTES LES MALADIES
Soutenez les projets de recherche les plus prometteurs
La recherche médicale
est au cœur de nos vies.
Elle a besoin de nous
comme nous avons besoin d'elle.
La recherche médicale est au cœur de nos vies. Sans vraiment nous en rendre compte, nous avons tous, un jour ou l’autre, bénéficié de ses avancées : avec les vaccins (contre la tuberculose ou la Covid-19 par exemple), mais aussi avec les antibiotiques, les antidouleurs, les technologies innovantes, que ce soit en matière de chirurgie, de réanimation, ou de procréation médicalement assistée.
Ces progrès, qui nous permettent de mieux vivre et de vivre plus longtemps, nous les devons à des chercheurs d’excellence qui innovent pour sauver des vies. Et ces projets ne sont rendus possibles que grâce à votre soutien financier. Convaincue qu’investir dans la recherche médicale, c’est investir dans la vie, la Fondation pour la Recherche Médicale (FRM) sélectionne et finance des projets de recherche prometteurs, sur toutes les maladies : cancers, maladies cardiovasculaires, maladies neurologiques et psychiatriques, maladies infectieuses, etc.
La recherche médicale est au cœur de nos vies.
Elle a besoin de nous comme nous avons besoin d'elle.
Chaque jour, de nombreux patients, quelle que soit leur pathologie, voient leur vie transformée et sauvée par les progrès de la recherche médicale. Des progrès rendus possible grâce à la détermination de chercheurs qui mènent avec obstination des projets innovants.
« C'est une renaissance »
Jessie est en rémission d'un cancer du sein triple négatif métastasé
Pr Roman Rouzier, chirurgien sénologue à l’Institut Curie à Saint-Cloud
« Le cancer du sein est une maladie extrêmement fréquente, qui représente environ 60 000 nouveaux cas par an en France et plus de 10 000 décès. Aujourd’hui, plus de 90% des patientes guérissent. Grâce au dépistage, les cancers du sein sont désormais diagnostiqués à un stade plus précoce et leur pronostic s’améliore donc. Si le nombre de cancers du sein augmente chaque année, il est intéressant de regarder les progrès réalisés sur le plan thérapeutique : on a vraiment fait un bond en avant. Les différents facteurs de risque sont également bien identifiés. »
« Je vois la vie totalement différemment »
Paul a failli succomber à un arrêt cardiaque à 25 ansDr Mélèze Hocini, Maître de Conférences des Universités-Praticien Hospitalier à l’Hôpital cardiologique du Haut Lévêque et Directrice Générale adjointe de l’Institut des maladies du rythme cardiaque, IHU Liryc
« Les arythmies cardiaques sont des troubles de propagation de l’influx électrique dans le cœur qui affectent la fréquence cardiaque, normalement comprise entre 60 et 100 battement/minute. La fibrillation auriculaire est l’arythmie la plus fréquente : elle est responsable d’un quart des cas d’AVC. Palpitations, souffle court, difficultés à faire de l’exercice… ces symptômes doivent inciter à consulter. Le diagnostic peut être établi grâce à l’électrocardiogramme si les symptômes sont encore présents, ou, dans le cas contraire, par une batterie d’examens. Les fibrillations ventriculaires, les plus dangereuses, sont liées à une activation électrique hyper rapide et désorganisée des ventricules, entrainant la perte de toute contraction cardiaque efficace. Si le rythme n’est pas rétabli dans les 15 secondes, une syncope s’en suit et peut entraîner le décès : chaque année en France, 50 000 personnes décèdent ainsi, de « mort subite ». »
« J'ai été sauvé 3 fois par la recherche »
Antoine souffre d'une forme d'obésité d'origine génétique
Pr Karine Clément, endocrinologue, Professeur de nutrition, Unité « Nutrition et obésités : approches systémiques », Inserm, Sorbonne Université à l’Hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris
« Notre projet est le résultat d’années de travail. Aujourd’hui, nous savons que le tissu adipeux est un véritable organe endocrine : il influe sur la régulation du poids en fabriquant des hormones qui agissent localement ou à distance. On sait aussi que lorsqu’on grossit, il y une accumulation des cellules inflammatoires dans le tissu adipeux, ce qui entraine une « fibrose », c’est-à-dire une « rigidification » du tissu adipeux qui perturbe son fonctionnement. Notre objectif est de mieux caractériser les mécanismes à l’origine de cette fibrose et de voir si on peut les moduler avec des traitements. On a observé que les patients atteints d’obésité et qui présentent beaucoup de fibrose, perdent moins de poids après une chirurgie bariatrique. Notre idée est de restaurer la plasticité du tissu graisseux, pour obtenir une perte de poids plus efficace après l’intervention. Pour nous, le soutien de la FRM est déterminant, notamment dans les découvertes faites ces dernières années. »
Découvrez d'autres portraits de patients
La Fondation pour la Recherche Médicale a besoin de vous
« J’admire profondément les chercheurs. Cela fait 15 ans que je suis parrain de la FRM qui finance des projets innovants et apporte une aide considérable aux chercheurs. Passionné de science, je visite une dizaine de laboratoires par an et j’ai la chance d’échanger régulièrement avec les chercheurs. »
« J’ai toujours voué une immense admiration aux chercheurs, des scientifiques de haut vol doublés de grands humanistes. Quand j’étais petite, je rêvais de découvrir le vaccin contre le cancer. Je suis devenue médecin puis journaliste médical. »
« Je suis vraiment admiratif des personnalités exceptionnelles que j’ai eu l’occasion de rencontrer à la FRM comme sur les plateaux de télévision. »
« Je voue depuis toujours une admiration sans bornes aux chercheurs qui consacrent leur vie à sauver les nôtres et jamais je n’oserai comparer nos métiers, le leur est bien plus important que le mien. »
Depuis 75 ans, la Fondation pour la Recherche Médicale (FRM) se bat pour la vie, en stimulant et en soutenant le progrès qui a le potentiel demain d’améliorer et de sauver des vies.
En adoptant une démarche pluridisciplinaire, la FRM encourage, sélectionne et finance des projets de recherche prometteurs sur toutes les maladies : cancers, maladies cardiovasculaires, maladies neurologiques et psychiatriques, maladies infectieuses, etc.
La FRM soutient chaque année plus de 400 nouvelles recherches menées dans les laboratoires des organismes publics de recherche et d’enseignement supérieur (INSERM, CNRS, INRA, CEA, Universités, grandes écoles, établissements de santé…).
Indépendante, la FRM agit grâce à la générosité de ses donateurs, testateurs et partenaires.