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MALADIES CARDIOVASCULAIRES, MALADIES NEUROLOGIQUES ET PSYCHIATRIQUES, CANCERS, MALADIES INFECTIEUSES...
Grâce à la recherche médicale, de nombreux patients voient leur vie transformée, ou même sauvée.
Ensemble, aidons les chercheurs à lutter plus efficacement contre toutes les maladies.
En 2021, nous avons soutenu 379 projets de recherche pour faire avancer la recherche sur toutes les maladies.
VIRUS ÉMERGENTS - CANCER - MALADIE D'ALZHEIMER - MALADIES CARDIOVASCULAIRES - SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE (SLA)
La FRM accompagne les projets de recherche les plus innovants susceptibles de faire progresser la médecine au bénéfice de tous les malades. Ils sont sélectionnés pour leur excellence par le Conseil scientifique de la FRM.
« Il faut financer des études fondamentales sur tous les virus pour ne pas reproduire, en cas de nouveau virus émergent, la panique que l’on a connue avec le coronavirus.»
Bruno Canard
Spécialiste des coronavirus, directeur de recherche CNRS dans le laboratoire « Architecture et fonction des macromolécules biologiques » de Marseille.
Bruno Canard revient sur son entrée dans le monde des coronavirus, partage avec nous les découvertes réalisées sur le coronavirus grâce au soutien de la FRM et ses recherches en cours sur la Covid-19. Un travail acharné, sur du long terme, pour se préparer aux épidémies à venir.
« Depuis 20 ans, je cherche à comprendre comment les virus copient avec une grande fiabilité leur matériel génétique, à l’intérieur de la cellule qu’ils ont infectée. Tout ça pour se reproduire ! Grâce à un financement de la FRM accordé en 2008, mon équipe a montré l’importance d’un groupe de protéines dans la stabilité et le camouflage du matériel génétique du coronavirus dans la cellule.
Toujours avec le soutien de la FRM, nous poursuivons ces travaux car étudier les mécanismes et les protéines impliqués dans la reproduction des virus, c’est ouvrir la porte à la conception de médicaments.
Mes espoirs :
« Pour la première fois, nous avons montré que l’intelligence artificielle permettait d’identifier les tumeurs cancéreuses résistantes à l’immunothérapie. »
Pr. Éric Deutsch
Chef du département de radiothérapie à l’Institut Gustave Roussy à Villejuif
Directeur de recherche Inserm, équipe « Radiothérapie moléculaire »
« Nous sommes partis d’images de patients, plus précisément de scanners. Pour chaque patient, nous disposions également de biopsies à partir desquelles nous avons déterminé la quantité de cellules immunitaires. Nous avons apporté les données de 500 patients à un algorithme qui a appris à corréler les caractéristiques des images avec les données biologiques correspondantes. Nous avons ainsi montré pour la première fois qu’il était possible, grâce à l’intelligence artificielle, de prédire la résistance à un traitement par immunothérapie à partir de scanners. Cette avancée est déterminante, car 30 % seulement des patients touchés par un cancer répondent à l’immunothérapie.
Mes espoirs :
« Nous achevons toutes les étapes précliniques pour pouvoir démarrer un essai thérapeutique chez l’homme. »
Nathalie Cartier
Directrice de recherche Inserm,
Équipe «Thérapie génique», à l’Institut du Cerveau et de la Moelle Épinière, Paris.
« Des études montrent que le métabolisme du cholestérol est perturbé dans le cerveau des patients et joue un rôle dans
la progression de la maladie d’Alzheimer.
Nous conduisons les différentes étapes de validation préclinique d’une thérapie génique qui vise à favoriser l’élimination du cholestérol cérébral chez les malades. Ce procédé a déjà été testé avec succès chez l’animal.
Mes espoirs :
« Nous sommes déterminés à trouver de nouveaux traitements pour arrêter la maladie »
Jean-Sébastien Silvestre et Philippe Menasché
Équipe « Thérapies régénératives pour les pathologies cardiaques et vasculaires », Inserm UMRS 970 Paris-Centre de Recherche Cardiovasculaire
« Nous avons greffé avec succès des cellules musculaires cardiaques obtenues à partir de cellules souches, chez des patients victimes d’insuffisance cardiaque. Nous avons constaté une amélioration de leur fonction cardiaque et pensons que cet effet positif serait lié à la sécrétion de substances, via des « vésicules », par les cellules greffées. Injecter de telles vésicules chez les patients représente une approche prometteuse contre l’insuffisance cardiaque.
Mes espoirs :
Luc Dupuis
Laboratoire « Mécanismes centraux et périphériques de la neurodégénérescence » à la Faculté de médecine de Strasbourg.
L’équipe de Luc Dupuis a montré qu’une région cérébrale impliquée dans la prise alimentaire et dans l’utilisation de l’énergie corporelle, l’hypothalamus, était atrophiée chez les patients. Aujourd’hui, l’équipe se penche plus particulièrement sur le rôle d’une « sous-région » de l’hypothalamus, l’hypothalamus latéral, dans la progression de la maladie.
Le projet vise à mieux caractériser les neurones de l’hypothalamus latéral affectés par la sclérose latérale amyotrophique (SLA). Les chercheurs utilisent pour cela plusieurs techniques qui allient imagerie de pointe et analyses génétiques avancées, et travaillent à l’aide de modèles animaux reproduisant la maladie.
Élucider les mécanismes régis par ces neurones et impliqués dans la perte de poids liée à la sclérose latérale amyotrophique (SLA) permettra de mettre au point des stratégies pharmacologiques ciblées afin d’enrayer le phénomène. En outre, une perte de poids est également notée lors d’autres pathologies neurodégénératives : ce projet pourrait ainsi avoir des retombées plus larges, dans des maladies du même type.
« Pour que les chercheurs continuent à améliorer notre quotidien et notre futur, il faut continuer d’investir dans la recherche, continuer d’investir dans la vie de chacun, dans votre vie ! »
Denis Duverne, Président du Conseil de surveillance de la FRM
La FRM est le plus important organisme caritatif à soutenir la recherche médicale en France dans son ensemble. Plus de 400 nouvelles recherches sont financées chaque année par la FRM et ouvrent en ce moment-même la voie à des avancées majeures pour la prise en charge de plus de 150 maladies.
Plus de 70 ans d’expérience confèrent à la FRM une connaissance pointue des travaux des équipes scientifiques, de l’évolution des disciplines et des domaines de recherche émergents susceptibles d’aboutir à des innovations majeures. La FRM attribue par ailleurs chaque année des prix (19 en 2022) qui récompensent quelques-uns des plus grands talents de la recherche française
La FRM alloue ses aides uniquement par appels à projets ouverts à l’ensemble des laboratoires de recherche publique français. Les demandes sont évaluées par des comités scientifiques constitués de chercheurs de haut niveau qui ne retiennent que les projets les plus innovants et les plus prometteurs. Ces projets font par la suite l’objet d’un suivi de la part de la FRM
Labellisée par le Don en confiance, totalement indépendante et reconnue d’utilité́ publique depuis 1965, la FRM ne dispose que de la générosité de ses donateurs, testateurs et partenaires pour apporter aux meilleurs chercheurs, en France, les financements dont ils ont besoin.
Les résultats obtenus par les équipes de recherche soutenues par la FRM démontrent l’importance de son action et de l’engagement de ses donateurs.
En 2021, plus de 1 200 publications ont été ainsi réalisées par des chercheurs accompagnés par la FRM.
« J’admire profondément les chercheurs. Cela fait 15 ans que je suis parrain de la FRM qui finance des projets innovants et apporte une aide considérable aux chercheurs. Passionné de science, je visite une dizaine de laboratoires par an et j’ai la chance d’échanger régulièrement avec les chercheurs. »
« J’ai toujours voué une immense admiration aux chercheurs, des scientifiques de haut vol doublés de grands humanistes. Quand j’étais petite, je rêvais de découvrir le vaccin contre le cancer. Je suis devenue médecin puis journaliste médical. »
« Je suis vraiment admiratif des personnalités exceptionnelles que j’ai eu l’occasion de rencontrer à la FRM comme sur les plateaux de télévision. »
« Je voue depuis toujours une admiration sans bornes aux chercheurs qui consacrent leur vie à sauver les nôtres et jamais je n’oserai comparer nos métiers, le leur est bien plus important que le mien. »
Depuis 75 ans, la Fondation pour la Recherche Médicale (FRM) se bat pour la vie, en stimulant et en soutenant le progrès qui a le potentiel demain d’améliorer et de sauver des vies.
En adoptant une démarche pluridisciplinaire, la FRM encourage, sélectionne et finance des projets de recherche prometteurs sur toutes les maladies : cancers, maladies cardiovasculaires, maladies neurologiques et psychiatriques, maladies infectieuses, etc.
La FRM soutient chaque année plus de 400 nouvelles recherches menées dans les laboratoires des organismes publics de recherche et d’enseignement supérieur (INSERM, CNRS, INRA, CEA, Universités, grandes écoles, établissements de santé…).
Indépendante, la FRM agit grâce à la générosité de ses donateurs, testateurs et partenaires.