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Soutenez les projets de recherche les plus prometteurs
Le cancer du sein continue de tuer chaque année plus de 12 000 femmes en France *.
Donnons à toutes les femmes touchées l'espoir de guérir.
* Institut National du Cancer 2023, chiffres 2018
Alors que des progrès réalisés dans la prise en charge ont permis d’améliorer le pronostic des patientes, certaines formes de cancer du sein restent toujours compliquées à traiter. C’est le cas des cancers du sein triple négatifs, des cancers agressifs qui concernent 15 % des patientes. Ils touchent le plus souvent les femmes jeunes et développent rapidement des métastases.
Contre ces formes particulièrement difficiles à soigner, il est urgent d’intensifier la recherche.
Elle a reçu plusieurs traitements et suivi un protocole thérapeutique dans le cadre d’un essai clinique. Toute sa vie tourne autour de sa maladie. Comment pourrait-il en être autrement ? Muriel n’a que 43 ans, elle est maman de trois adolescentes, et elle en est persuadée, c’est grâce à la recherche qu’elle pourra guérir.
Pour toutes les femmes touchées par un cancer du sein triple négatif, il reste encore de très nombreux défis à relever. Il est urgent d’intensifier la recherche, d’accélérer les progrès en soutenant les chercheurs qui ont à cœur de trouver, le plus vite possible, des solutions efficaces.
Pourquoi les cancers du sein triple négatifs sont-ils plus prompts à former des métastases ?
En cherchant à répondre à cette question, Eloïse Grasset a mis en évidence une particularité des métastases de cancer du sein triple négatif : 90 % d’entre elles expriment une protéine de structure, la vimentine. Elle a donc émis l’hypothèse que cette protéine pouvait être impliquée dans le caractère invasif des cellules tumorales. Elle explore aujourd’hui son rôle dans la colonisation des poumons par les cellules tumorales mammaires.
Son projet pourrait apporter des données essentielles pour de nouvelles prises en charge du cancer triple négatif et de ses métastases.
Des travaux d’une importance cruciale, comme ceux d’Éloïse Grasset, pourraient bien favoriser des progrès notables pour la prise en charge des cancers du sein triple négatifs. Donnons aux chercheurs les moyens d’explorer les pistes les plus prometteuses.
Les chercheurs sont pleinement mobilisés dans le développement de stratégies innovantes contre le cancer du sein. Leurs enjeux sont multiples :
Pour aider les chercheurs à « mettre les bouchées doubles » comme le dit Muriel dans son témoignage, pour donner à chaque patiente une chance de guérir, il ne faut pas attendre, il faut agir maintenant.
« J’admire profondément les chercheurs. Cela fait 15 ans que je suis parrain de la FRM qui finance des projets innovants et apporte une aide considérable aux chercheurs. Passionné de science, je visite une dizaine de laboratoires par an et j’ai la chance d’échanger régulièrement avec les chercheurs. »
« J’ai toujours voué une immense admiration aux chercheurs, des scientifiques de haut vol doublés de grands humanistes. Quand j’étais petite, je rêvais de découvrir le vaccin contre le cancer. Je suis devenue médecin puis journaliste médical. »
« Je suis vraiment admiratif des personnalités exceptionnelles que j’ai eu l’occasion de rencontrer à la FRM comme sur les plateaux de télévision. »
« Je voue depuis toujours une admiration sans bornes aux chercheurs qui consacrent leur vie à sauver les nôtres et jamais je n’oserai comparer nos métiers, le leur est bien plus important que le mien. »
Depuis 75 ans, la Fondation pour la Recherche Médicale (FRM) se bat pour la vie, en stimulant et en soutenant le progrès qui a le potentiel demain d’améliorer et de sauver des vies.
En adoptant une démarche pluridisciplinaire, la FRM encourage, sélectionne et finance des projets de recherche prometteurs sur toutes les maladies : cancers, maladies cardiovasculaires, maladies neurologiques et psychiatriques, maladies infectieuses, etc.
La FRM soutient chaque année plus de 400 nouvelles recherches menées dans les laboratoires des organismes publics de recherche et d’enseignement supérieur (INSERM, CNRS, INRA, CEA, Universités, grandes écoles, établissements de santé…).
Indépendante, la FRM agit grâce à la générosité de ses donateurs, testateurs et partenaires.