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OCTOBRE ROSE 2020
CANCER DU SEIN
LES TRAITEMENTS PERSONNALISES : UN ESPOIR CONTRE TOUS LES CANCERS DU SEIN, MÊME LES PLUS AGRESSIFS.
Donnez à toutes les femmes atteintes, l'espoir de guérir. Soutenez la recherche médicale, faites un DON à la FRM.
Le cancer du sein frappe chaque année près de 59 000 femmes en France : c’est le plus fréquent des cancers féminins.
Et nulle ne peut se prétendre à l’abri, car 1 femme sur 8 développera un cancer du sein au cours de sa vie.
Au regard de ces chiffres, vaincre le cancer du sein est un objectif prioritaire de santé publique.
La mobilisation sans faille et la détermination des chercheurs ont favorisé l’émergence de progrès diagnostiques et thérapeutiques déterminants, notamment dans le domaine des thérapies ciblées et de l’immunothérapie.
Grâce à de nombreuses avancées scientifiques, on estime aujourd’hui que le pronostic du cancer du sein est plutôt favorable.
Pourtant, plus de 12 000 femmes par an y
laissent leur vie.
C'est la 1ère cause de décès par cancer féminin.
Ghita CHABAB
Institut de Recherche en Cancérologie de Montpellier
« Nous nous intéressons à des cellules immunitaires appelées lymphocytes gamma delta (γδ), bien connus pour aider à lutter contre le développement tumoral.
De manière surprenante, la présence de lymphocytes γδ au niveau de la tumeur a récemment été associée à un mauvais pronostic dans les cancers du sein, du côlon et du pancréas.
Cette observation suggère que ces lymphocytes pourraient dans certains cas favoriser la progression tumorale.
Nous avons voulu en comprendre les mécanismes et identifier l’éventuelle sous-population de lymphocytes en cause.
Nous avons montré qu’une sous-population de lymphocytes γδ pouvait avoir des activités protumorales in vitro (en culture) et qu’ils étaient présents au niveau de tumeurs du sein, particulièrement aux stades avancés.
Nous avons également démontré que cette sous-population de lymphocytes γδ était capable d’infiltrer la tumeur et d’inhiber les défenses immunitaires par les mêmes mécanismes que ceux identifiés in vitro.
Ces travaux sont essentiels car ils pourraient permettre de
proposer de nouvelles stratégies d’immunothérapie et de déterminer les
patientes chez qui le traitement sera efficace. »
Nadine El Banna
Institut Curie, Centre universitaire d’Orsay
« Les cancers du sein triple négatifs sont les plus compliqués à soigner car la surface de leurs cellules ne comporte aucun des récepteurs contre lesquels il existe des thérapies efficaces. Une piste pour s’attaquer à ces cellules cancéreuses pourrait être le stress oxydant.
Ce mécanisme, lié à l’accumulation dans la cellule de molécules toxiques produites à partir de l’oxygène, peut en effet déclencher sa mort. Or les cellules cancéreuses sont plus sensibles au stress oxydant que les cellules saines.
C’est pourquoi nous nous sommes intéressés au potentiel de la vitamine C.
En effet, si à faible dose elle comporte un effet anti-oxydant, à forte dose elle se révèle au contraire un puissant agent de stress oxydant.
En travaillant sur des lignées de cellules de cancer du sein triple négatif, nous avons montré que c’est lorsque la vitamine C est sous forme d’acide ascorbique qu’elle entraîne le stress oxydant le plus important.
Nous avons aussi identifié des biomarqueurs permettant de prédire la sensibilité des cellules cancéreuses à cette vitamine C à haute dose. De quoi mieux appréhender l’application anticancéreuse de cette vitamine, notamment en combinaison avec d’autres médicaments. »
" Face à tous les cancers du sein, ne laissons aucune femme dans l'impasse ! Soutenons la recherche.
Nous comptons sur vous "
Denis Duverne, Président du Conseil de surveillance de la FRM
« J’admire profondément les chercheurs. Cela fait 15 ans que je suis parrain de la FRM qui finance des projets innovants et apporte une aide considérable aux chercheurs. Passionné de science, je visite une dizaine de laboratoires par an et j’ai la chance d’échanger régulièrement avec les chercheurs.»
« J’ai toujours voué une immense admiration aux chercheurs, des scientifiques de haut vol doublés de grands humanistes. Quand j’étais petite, je rêvais de découvrir le vaccin contre le cancer. Je suis devenue médecin puis journaliste médical. »
« Je suis vraiment admiratif des personnalités exceptionnelles que j’ai eu l’occasion de rencontrer à la FRM comme sur les plateaux de télévision. »
« Je voue depuis toujours une admiration sans bornes aux chercheurs qui consacrent leur vie à sauver les nôtres et jamais je n’oserai comparer nos métiers, le leur est bien plus important que le mien. »
« Mon grand-père a été touché par la maladie d’Alzheimer et cela a été une véritable blessure. J’ai eu le sentiment de le perdre avant de l’avoir perdu. C’est en mémoire de ce grand-père que j’ai décidé de m’engager aux côtés de la Fondation pour la Recherche Médicale. »
« Pendant 12 ans, j’ai tristement bien connu la maladie d’Alzheimer. Elle a d’abord touché ma grand-mère, puis, quand elle nous a quittés, elle s’est attaquée à mon grand-père. C’est une maladie terrible, et qui fait souffrir le malade, mais aussi son entourage. C’est donc naturellement que je m’engage aux côtés de la FRM pour que la recherche avance et qu’enfin on puisse trouver des solutions pour la guérir. »
Au service de la recherche et de la santé depuis plus de 70 ans, la Fondation pour la Recherche Médicale (FRM) est le plus important financeur caritatif de la recherche médicale française sur toutes les pathologies : cancers, maladie d'Alzheimer, maladies cardiovasculaires, maladies infectieuses, diabète, sclérose en plaques, maladie de Parkinson, maladies rares...
Elle soutient chaque année plus de 400 nouvelles recherches menées dans les laboratoires des organismes publics de recherche et d’enseignement supérieur (INSERM, CNRS, INRA, CEA, Universités, grandes écoles, établissements de santé…).
Indépendante, la FRM agit grâce à la générosité de ses donateurs, testateurs et partenaires.