Récemment, l’équipe a soumis ce support aux tests imposés par les recommandations européennes en matière de production de tissus pour usage médical : stérilité, absence de toxicité et de réaction inflammatoire notamment.
« Nous avons aussi vérifié que notre matrice est efficacement réensemencée avec des cellules souches humaines pour reconstituer un oesophage prêt à être implanté. La prochaine étape sera une validation similaire du protocole en utilisant l’oesophage humain. »